Musée Hector Berlioz

Mes visites guidées estivales 2019

Après un début d'année record, avec plus de 80 groupes guidés en 6 mois, l'été s'installe et les groupes se calment un peu... mais pas de vacances pour autant pour votre guide de poche, bien au contraire ! 

Cette année, grâce à de multiples partenariats avec des organismes publics et des sites privés, je suis en mesure de vous proposer une riche programmation d'une soixantaine de visites guidées sur tout le département de l'Isère sur les deux mois de l'été ! 

Je vous laisse les découvrir, en espérant vous croiser au cours de l'une d'entre elles ! :-)

 

Programme GINSTEVE été 2019

Programme GINSTEVE été 2019 Calendrier

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1 DIMANCHE = 1 DECOUVERTE : Estelle met un râteau à Hector Berlioz

La semaine dernière, je vous dévoilais la longue lettre de déclaration d'amour du compositeur romantique Hector Berlioz (dont je fais visiter régulièrement la maison natale à La Côte Saint André), à son amour d'enfance, Estelle, qu'il a retrouvé après 49 ans d'absence... aujourd'hui, il est temps de découvrir la réponse de la belle, qui malheureusement pour Hector, ne sera pas la réponse attendue puisqu'Estelle va lui mettre ce qu'on appelle familièrement un gros "râteau" !

Alors si vous aussi vous cherchez de l'inspiration pour éconduire un(e) prétendant(e), à vos carnets, prenez des notes ! 



Estelle Fornier (née Dubeuf)Lyon, 29 septembre 1864.

Monsieur,

Je me croirais coupable envers vous et moi-même, si je ne répondais pas tout de suite à votre dernière lettre, et au rêve que vous avez fait sur les relations que vous désirez voir s'établir entre nous. C'est le coeur sur la main que je vais vous parler.
Je ne suis plus qu'une vieille et bien vieille femme (car, monsieur, j'ai six ans de plus que vous), au coeur flétri par des jours passés dans les angoisses, les douleurs physiques et morales de tout genre, qui ne m'ont laissé sur les joies et les sentiments de ce monde aucune illusion. Depuis vingt ans que j'ai perdu mon meilleur ami je n'en ai pas cherché d'autre ; j'ai conservé ceux que d'anciennes relations m'avaient fait ainsi que ceux que des liens de famille m'attachaient naturellement. Depuis le jour fatal où je suis devenue veuve j'ai rompu toutes mes relations, j'ai dit adieu aux plaisirs, aux distractions, pour me consacrer tout entière à mon intérieur, à mes enfants. C'est donc là ma vie depuis vingt ans ; c'est une habitude pour moi dont rien maintenant ne peut rompre le charme ; car c'est dans cette intimité du coeur que je puis trouver le seul repos des jours qu'il me reste à passer dans ce monde ; tout ce qui viendrait en troubler l'uniformité me serait pénible et à charge.

Dans votre lettre du 27 courant vous me dites que vous n'avez qu'un désir, celui que je devienne "votre amie" à l'aide d'un échange de lettres. Croyez-vous sérieusement, monsieur, que cela soit possible ? Je vous connais à peine depuis quarante-neuf ans, je vous ai revu vendredi passé quelques instants ; je ne puis donc apprécier ni vos goûts, ni votre caractère, ni vos qualités, seules choses qui sont la base de l'amitié. Quand il y a entre deux individus les mêmes manières de voir et de sentir, alors la sympathie peut naïtre et arriver ; mais, établir ce que vous attendez de moi ; pour ma part je le crois impossible. Du reste, je dois vous avouer que je suis extrêmement paresseuse pour écrire, j'ai l'esprit aussi engourdi que les doigts ; j'ai une peine extrême à remplir à cet égard mes obligations indispensables. Je ne pourrais donc vous promettre de commencer avec vous une correspondance qui pût être suivie, je manquerais trop souvent à ma promesse pour ne pas vous en avertir d'avance s'il vous est agréable de m'écrire quelque fois je recevrai vos lettres, mais n'attendez pas mes réponses exactement ni promptement.

Vous désirez aussi que je vous dise : "Venez me voir" ; cela n'est pas possible, pas plus que de vous dire : "Vous me trouverez seule" ; le hasard, vendredi, a voulu que je fusse seule pour vous recevoir ; quand je serai à Genève avec mon fils et sa femme, si, quand vous vous présenterez chez eux, je suis seule, je vous recevrai, mais s'ils m'entourent au moment de votre visite, il vous faudra subir leur présence, car je trouverais fort inconvenant qu'il en fût autrement.

C'est avec toute la franchise et la sincérité qui sont le fond de mon caractère que je vous ai tracé ce que je pense et ce que je sens. Je crois devoir encore vous dire qu'il est des illusions, des rêves, qu'il faut savoir abandonner quand les cheveux blancs sont arrivés, et avec eux le désenchantement de tous sentiments nouveaux, même ceux de l'amitié, qui ne peuvent avoir du charme que lorsqu'ils sont nés de relations suivies et dans les heureux jours de la jeunesse. Ce n'est pas, selon moi, au moment où le poids des années se fait sentir, où leur nombre nous a apporté l'expérience de toutes les déceptions, qu'il faut commencer des relations. Je vous avoue que pour moi j'en suis là. Mon avenir se raccourcit tous les jours ; à quoi bon former des relations qu'aujourd'hui voit naître et que demain peut faire évanouir ? Ce n'est que se créer des regrets.

Ne voyez, monsieur, dans tout ce que je viens de vous dire, aucune intention de ma part de blesser les souvenirs que vous avez pour moi ; je les respecte et je suis touchée de leur persistance. Vous êtes encore bien jeune par le coeur, pour moi il n'en est pas ainsi, je suis vieille tout de bon, je ne suis plus bonne à rien qu'à conserver, croyez-le, une large place pour vous dans mon souvenir. J'apprendrai toujours avec plaisir les triomphes que vous êtes appelé à avoir.

Adieu, monsieur, je vous dis encore : recevez l'assurance de mes sentiments affectueux.



Estelle Fornier

 

C'est ce qu'on appelle un râteau dans les règles de l'art ! 
Et quand bien même notre Hector obtiendra d'Estelle par la suite quelques lettres et même quelques rares entrevues, leur relation restera purement amicale... à son grand desespoir !

A très vite pour un prochain billet-découverte !


Steve VACHET, votre guide de poche !

 

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1 DIMANCHE = 1 DECOUVERTE : Hector Berlioz et sa grande déclaration d'amour à Estelle Fornier

Estelle Fornier (née Dubeuf)

La visite du Musée Hector Berlioz, à La Côte Saint André, est l'une de mes plus anciennes visites guidées. Elle a beaucoup évolué depuis mes toutes premières interventions en 2011 ! J'ai, en 9 ans, beaucoup enrichi mon discours, notamment de petites lectures d'extraits des Mémoires de l'artiste, ou, plus croustillant encore, de sa Correspondance, une façon d'entrer au coeur de l'intimité de notre cher Hector Berlioz.

Aujourd'hui, en cette semaine de Saint Valentin, j'ai même guidé une visite inédite tournant autour des Amours de Berlioz uniquement... et près d'une vingtaine de personnes ont répondu présentes, et ont apprécié ce voyage dans la vie amoureuse d'Hector, à la lecture de ses Mémoires et de ses lettres.

Pour ce billet découverte ce dimanche, j'ai justement choisi de partager avec vous ce qui est sans doute l'une de ses plus belles lettres : elle est adressée à Estelle Fornier (née Dubeuf), son amour d'enfance rencontrée à Meylan (amour impossible car il avait 12 ans lorsqu'il a fait connaissance de la belle qui en avait... 18 ! Eh oui, précoce le petit ! ;-)). Il revoit brièvement Estelle un demi-siècle plus tard, en septembre 1864, elle est alors veuve... l'entrevue sera courte, mais il en ressort tout chamboulé, au point, dès son retour à Paris, de déclarer sa flamme à Estelle à travers la lettre suivante :



27 septembre 1864

Paris 4 rue de Calais

Madame,

Vous m’avez accueilli avec une bienveillance simple et digne dont bien peu de femmes eussent été capables en pareil cas. Soyez mille fois bénie. Depuis que je vous ai quittée je souffre beaucoup cependant. J’ai beau me répéter que vous ne pouviez me recevoir mieux, que tout autre accueil eût été peu convenable ou cruel, mon malheureux cœur saigne comme s’il eût été blessé. Je me demande pourquoi, et voici la raison que je trouve : c’est l’absence, c’est que je vous ai vue trop peu, que je ne vous ai pas dit le quart de ce que j’avais à vous dire, et que je suis parti presque comme s’il s’agissait d’une éternelle séparation. Et pourtant vous m’avez donné votre main, je l’ai pressée sur mon front, sur mes lèvres, et j’ai contenu mes larmes ; je vous l’avais promis. Mais j’ai un besoin impérieux, inexorable, de quelques mots encore que vous ne me refuserez pas, je l’espère.

Songez que je vous aime depuis quarante-neuf ans, que je vous ai toujours aimée depuis mon enfance, malgré les orages de toute espèce qui ont ravagé ma vie. La preuve en est dans le profond sentiment que j’éprouve aujourd’hui ; s’il eût un seul jour cessé d’être, il ne se fût pas ranimé sans doute, dans les circonstances actuelles. Combien y a-t-il de femmes qui se soient jamais entendu faire une telle déclaration.

Ne me prenez pas pour un homme bizarre qui est le jouet de son imagination. Non, je suis seulement doué d’une sensibilité très vive, alliée, croyez-le bien, à une grande clairvoyance d’esprit, mais dont les affections vraies sont d’une puissance incomparable et d’une fidélité à toute épreuve. Je vous ai aimée, je vous aime, je vous aimerai, et j’ai soixante et un ans, et je connais le monde et n’ai pas une illusion.

Accordez-moi donc, non comme une sœur de charité accorde ses soins à un malade, mais comme une noble femme de cœur guérit des maux qu’elle a involontairement causés, les trois choses qui seules peuvent me rendre le calme : la permission de vous écrire quelquefois, l’assurance que vous me répondrez et la promesse que vous m’inviterez, au moins une fois de l’an, à venir vous voir.

Mes visites pourraient être inopportunes et par suite importunes si je les faisais sans votre autorisation. Je n’irai donc auprès de vous, à Genève ou ailleurs, que quand vous m’aurez écrit : Venez !

À qui cela pourrait-il paraître étrange ou malséant ? Qu’y a-t-il de plus pur qu’une liaison pareille ? Ne sommes-nous pas libres tous les deux ? Qui serait assez dépourvu d’âme et de bon sens pour la trouver blâmable ? Personne, pas même vos fils ; ils sont, je le sais, des jeunes gens fort distingués. J’avoue seulement qu’il serait affreux de n’obtenir le bonheur de vous voir que devant témoins. Si vous me dites : « Venez », il faut que je puisse causer avec vous comme à notre première entrevue de vendredi dernier, entrevue que je n’ai osé prolonger et dont je n’ai pu goûter le charme douloureux à cause des efforts terribles que je faisais pour refouler mon émotion.

Oh ! madame, madame, je n’ai plus qu’un but dans ce monde, c’est d’obtenir votre affection. Laissez-moi essayer de l’atteindre. Je serai soumis et réservé ; notre correspondance sera aussi peu fréquente que vous le voudrez, elle ne deviendra jamais pour vous une tâche ennuyeuse, quelques lignes de votre main me suffiront. Mes voyages auprès de vous ne pourront être que bien rares ; mais je saurai que votre pensée et la mienne ne sont plus séparées et qu’après tant de tristes années où je n’ai rien été pour vous, j’ai enfin l’espérance de devenir votre ami. Et c’est rare un ami dévoué comme je le serai. Je vous environnerai d’une tendresse si profonde et si douce, d’une affection si complète, où vous trouverez confondues dans le sentiment de l’homme les naïves effusions de cœur de l’enfant. Peut-être y sentirez-vous du charme ; peut-être, enfin me direz-vous un jour  « Je suis votre amie » et voudrez-vous avouer que j’ai bien mérité votre amitié. Adieu, madame, je relis votre billet du 23 et j’y vois à la fin l’assurance de vos sentiments affectueux ; c’est n’est pas une banale formule ? n’est-ce pas ? n’est-ce pas ?

À vous pour toujours.

HECTOR BERLIOZ.

 

Après une telle déclaration, on se demande bien quelle fut la réponse d'Estelle... fut-elle touchée par les mots de notre Hector ? Fut-elle indifférente ? 
Patience... je vous dévoilerai sa réponse dans le prochain billet découverte ! ;-)

Votre guide de poche, Steve

 

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1 DIMANCHE = 1 DECOUVERTE : Berlioz caricaturé, après l'échec de son 1er Opéra

Lorsque je suis en visite au Musée Hector Berlioz à La Côte Saint André, je ne peux malheureusement pas parler de tous les documents et objets présentés, j'ai donc fait une petite sélection et je voudrais vous faire découvrir avec ce billet dominical, l'un d'entre eux.

Il s'agit d'une caricature qui fut publiée le 1er novembre 1838 dans le journal "La Caricature provisoire", alors que le 1er opéra de Berlioz, "Benvenuto Cellini", venait de connaître un échec cuisant avec 3 premières représentations difficiles en septembre.


Caricature Berlioz Malvenuto Cellini

Plusieurs choses sont à remarquer dans cette caricature.

Tout d'abord, l'artiste est représenté (comme souvent) avec une grosse tête, les cheveux hirsutes : il joue de plusieurs instruments à la fois, tout en écrivant à la plume (rappelant ici son 2e métier, celui de critique, pour le Journal des Débats).

C'est surtout avec le petit théâtre de marionnettes représenté devant lui que la caricature s'avère virulente : non seulement le nom de l'oeuvre "Benvenuto Cellini" est transformé en "Malvenuto Cellini" (le caricaturiste jouant ici sur l'opposition Benvenuto/Malvenuto = Bienvenu/Malvenu... en gros, garde le ton opéra !), mais on étire aussi certains mots "GRRRand opéra", "GRRande représentation", donnant une espèce de grognement pour représenter la musique de Berlioz. On lui reprochait souvent de faire "du bruit", plutôt que de la musique.

Mais c'est sans doute aussi une façon de se moquer de l'artiste, qui par cette oeuvre, devait pourtant gagner en légitimité (tout compositeur rêve et se doit de s'illustrer et s'imposer à l'Opéra). Malheureusement ce ne sera pas avec Benvenuto Cellini qu'il sera pris au sérieux, la caricature évoquant des "pasquinades littéraires et arlequinades musicales" !

Le clou de la caricature reste la dernière phrase : "A la fin de la parade une grande statue sera coulée... l'auteur aussi.".
Comprenez là : la carrière de Berlioz coule avec l'échec de son opéra !

Eh oui, la presse n'était pas tendre avec notre compositeur côtois ! Mais bien heureusement, sa carrière ne s'arrêtera pas à cet échec, loin de là, puisque quelques années plus tard, c'est toute l'Europe qui l'applaudit au cours de ses tournées.


Cette caricature fait partie du parcours permanent du Musée Hector Berlioz, mais on la retrouve, avec beaucoup d'autres caricatures, dans l'exposition "Sacré Berlioz!", à découvrir jusqu'au 31 Décembre 2018, n'hésitez pas à participer à mes visites guidées, ce sera l'occasion de vous révéler bien d'autres anecdotes autour de la carrière et de la vie d'Hector ! ;-)


 



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Mes visites guidées et ateliers au Musée Hector Berlioz (2e semestre 2018)

Musee Hector Berlioz

 

Alors que la Coupe du Monde de football touche (enfin ?) à sa fin, vous préparez peut-être déjà vos valises pour vos vacances... si ce n'est pas le cas, si ça peut vous consoler : votre guide de poche ne part pas en vacances non plus, loin de là ! 

En effet, cet été, je vous propose de nombreuses visites, que ce soit les visites enchantées au Château de Barbarin les mardis, les rendez-vous patrimoniaux en Pays d'Art et d'Histoire du Pays Voironnais, ou encore les visites guidées de la Grange Dimière... sans oublier le Musée Hector Berlioz, où j'assurerai de nombreuses visites ainsi que de nouveaux ateliers pour les enfants ! 

Zoom sur le programme estival et, plus largement, sur toute la programmation de ce deuxième semestre 2018, avec près de 50 rendez-vous proposés au Musée Hector Berlioz !

 

Musée Hector Berlioz

LES VISITES GUIDEES GRATUITES DE LA MAISON-MUSEE : 

Après une petite écoute musicale pour se mettre dans l'ambiance, suivez moi à travers les pièces de la maison natale du compositeur Hector Berlioz : chacune sera l'occasion d'aborder une facette du personnage, entre son enfance à La Côte Saint André, ses amours, sa carrière... une belle façon de faire connaissance avec le plus célèbre des côtois !

- Dimanche 5 Août 2018, à 15h (suivie d'un concert à 16h30, par "Jardin En'chantés")
- Tous les jours à 11h pendant le Festival Berlioz, du 18 Août au 1er Septembre 2018
- Dimanche 7 Octobre 2018, à 15h30
- Dimanche 4 Novembre 2018, à 15h30
- Dimanche 2 Décembre 2018, à 15h30
- Dimanche 6 Janvier 2019, à 15h30

Musee hector berlioz expo sacre berlioz

LES VISITES GUIDEES GRATUITES DE LA NOUVELLE EXPOSITION TEMPORAIRE
"SACRE BERLIOZ - LES IMAGES D'UN ICONOCLASTE" :

Du 23 Juin au 31 Décembre 2018, le Musée Hector Berlioz présente sa nouvelle exposition temporaire "Sacré Berlioz - Les images d'un iconoclaste", qui propose de retracer à partir de nombreux portraits et caricatures de l'artiste, ou de ses pairs, le développement de la photographie et l'art du portrait à partir des années 1850.

- Dimanche 22 Juillet 2018, à 15h (suivie d'un concert à 16h30, par "Gala Club")
- Tous les jours à 14h pendant le Festival Berlioz, du 18 Août au 1er Septembre 2018,
  SAUF LE MARDI 21 ET LE DIMANCHE 26 AOÛT 2018)
- Dimanche 23 Septembre 2018, à 15h30
- Dimanche 21 Octobre 2018, à 15h30
- Dimanche 25 Novembre 2018, à 15h30
- Dimanche 23 Décembre 2018, à 15h30



MAIS LE MUSEE HECTOR BERLIOZ,
C'EST AUSSI POUR LES ENFANTS !

Musee hector berlioz atelier cyanotypes

L'ATELIER CYANOTYPES
(5€/enfant, inscription au 04-74-20-24-88) :

Dans le cadre de l'exposition "Sacré Berlioz", présentant de nombreux portraits photographiques de Berlioz, nous découvrirons le développement photo "cyanotype", et réaliserons des tirages uniques "Bleu de Prusse". Pour mettre en valeur comme il se doit notre portrait cyanotype d'un autre temps, nous réaliserons également un cadre photo original !

- Mercredi 18 Juillet 2018, à partir de 15h
- Mercredi 8 Août 2018, à partir de 15h
- Lundi 27 Août 2018, à partir de 15h (pendant le Festival Berlioz)
- Lundi 22 Octobre 2018, à partir de 15h
- Lundi 29 Octobre 2018, à partir de 15h


Musee Hector Berlioz - Enquête Sacré Berlioz

L'ENQUÊTE AU MUSEE "SACRE BERLIOZ"
(GRATUIT, inscription au 04-74-20-24-88) :

Après le succès des Enquêtes au musée lancées au 2017, durant lesquelles il fallait reconstituer les partitions d'Hector, je profite de la nouvelle exposition "Sacré Berlioz" pour vous proposer une chasse au trésor inédite, autour cette fois des nombreux portraits de l'artiste... 

- Mercredi 1er Août 2018, à partir de 14h30
- Vendredi 26 Octobre 2018, à partir de 14h30
- Mercredi 2 Janvier 2019, à partir de 14h30

 

Musee Hector Berlioz - Atelier masques

L'ATELIER MASQUES "BAL DES SORCIERES"
(5€/enfant, inscription au 04-74-20-24-88) :

 

Après le succès de l'Atelier Masques organisé pour le Carnaval en Février dernier, je vous propose un nouvel Atelier Masques pour Halloween !

- Mercredi 31 Octobre 2018, à partir de 15h

Musee Hector Berlioz - Atelier caricatures en linogravure

L'ATELIER CARICATURES EN LINOGRAVURE
(5€/enfant, inscription au 04-74-20-24-88) :

Initié en début d'année, avec succès, l'atelier "Caricatures en Linogravure" revient au second semestre dans le cadre de l'exposition "Sacré Berlioz !". L'occasion de (re)découvrir le monde de la caricature, ainsi que la linogravure... et chacun repart avec sa création ! 

- Vendredi 2 Novembre 2018, à partir de 15h
- Vendredi 28 Décembre 2018, à partir de 15h

 

J'espère que cette riche programmation vous plait, et qu'on aura l'occasion de se retrouver au cours de l'un de ces nombreux rendez-vous !

A très vite ! 
 

Votre guide de poche, Steve

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Bonjour et bienvenue sur mon site internet.

Je suis Steve, guide conférencier indépendant et créateur d'événements, et vous trouverez ici toute mon offre de visites guidées, ainsi que toutes les animations et tous les événements que j'organise avec ANIM'Alex, votre animateur de poche, sur le département de l'Isère et plus largement en région Rhône Alpes.

En espérant avoir le plaisir de vous accueillir sur l'une de nos activités prochainement,

Votre (futur?) guide privé et animateur, Steve.